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LE CRIME D’ÉTAT COMMIS À ÉVIAN

Tant que le mensonge d’Évian n’aura pas été avoué pour ce qu’il est, c’est-à-dire, non pas, comme les Métropolitains le croient encore, un accord entre deux nations, mais bien un mensonge d’État et une forfaiture, tant que le massacre du 26 Mars 1962 et la sanglante journée du 5 juillet 1962 à Oran, n’auront pas été reconnus pour ce qu’ils sont, et expiés, il n’y aura pas de nation française mais quelque chose de fondamentalement faux, rongé, vermoulu…

Cette réalité, c’est que la trahison d’Évian et le sang versé par la volonté et sur ordre strict du Chef de l’État Français dans la rue d’Isly ont creusé, au cœur de la Nation Française, une plaie qui n’est pas guérie, et ne le sera jamais, tant que reconnaissance et réparation n’auront pas lieu !

La réalité, plus d’un demi-siècle plus tard, c’est bien qu’aucune contrition n’a jamais été faite par la France officielle, et ne pouvait l’être, par crainte probable de culpabiliser l’immense majorité des Français métropolitains, ceux qui, à 90%, lors du référendum du 8 avril 1962, avaient approuvé, massivement, comme s’il s’agissait d’accords de paix,  une simple déclaration d’intention, non pas entre deux États, mais entre l’État Français, et un seul des membres de l’organisation terroriste FLN  - Krim Belkacem qui devait être égorgé par les siens ! – cette falsification historique voulue par Charles Degaulle ayant berné tout un peuple constituait bien le crime d’État d’Évian !

La plupart de ces électeurs n’en avait, d’ailleurs, jamais lu les textes, comme tous les sondages d’opinion ultérieures l’ont démontré ! Bien mieux, une loi votée par le Parlement, en 2002, tend à faire du 19 Mars 1962, dans un suprême reniement, une sorte de fête patriotique à l’envers, un rituel masochiste où se concrétise notre désunion nationale…

Si on examine de plus près cette journée historique, qui devrait donner lieu, en toute décence, à une manifestation de deuil national, on est d’abord frappé du chef d’œuvre de duperie avec lequel  fut annoncée à la communauté française la signature de ces accords d‘Evian par Jean Morin !

Le Délégué Général français, retranché à Rocher Noir, en ce 19 Mars 1962, a énuméré ainsi les garanties offertes aux Français d’Algérie, toutes ethnies confondues :

  • « Vous voulez rester français quoiqu’il arrive ? Français vous l’êtes, et le demeurerez. La France – et ceci ne dépend que d’elle – vous assure la garantie absolue de cette qualité.
  • Les garanties prévues à votre intention sont aussi individuelles : vos biens, vos intérêts, vos droits, vos libertés seront protégés, sauvegardés, intacts.
  • Demain vous pourrez, dans le nouvel État algérien, avoir les droits et les possibilités que vous auriez en France. » !
  • « Elles sont collectives, ces garanties» Et le Délégué Général de décrire longuement les garanties collectives accordées à la communauté française sous la forme de deux organismes juridiques, une Cour  des Garanties et une Association  de Sauvegarde, fantômes qui ne verront jamais le jour …
  • « Elles sont aussi militaires ces garanties : l’armée française du temps de paix restera près de vous en Algérie pendant 3 ans …» On sait ce qui en est advenu, l’armée, sur ordre personnel de Charles Degaulle (comme en témoignera le général Katz à Oran) restera le plus souvent immobilisée dans ses quartiers, ignorant les pillages, les enlèvements et les massacres qui se dérouleront à ses portes !
  • « Elles sont politiques ces garanties : vous participerez à la vie politique de l’Algérie dans toutes ses assemblées et dans toutes ses instances. Votre place y est, non seulement marquée, mais réservée… Elles sont juridictionnelles, ces garanties. Entre vous, la justice sera rendue par vous. Partout vous serez représentés et entendus. Et ces privilèges de la justice moderne, le double degré de juridiction, le jury en matière criminelle, les recours en Cassation, ou en grâce, auxquels tient tout pays démocratique, vous sont réservés. »

En 1963, Ben Bella, entre autres violations, nationalisera ou confisquera la plupart des biens immobiliers, sans protestation, ni aucune mesure de rétorsion de la France qui, à ce jour, n’a pas indemnisé les Français d’Algérie sur la perte de leurs biens fonciers !

L’expression « pays démocratique » pour désigner le régime politique totalitaire instauré par le FLN donnait un sens dérisoire, irréel, à cet exposé juridique, aussi hypocrite que minutieux, et semblait relever de l’humour noir, dans un pays où sévissaient déjà impunément les pillages et les enlèvements croissants…

On se demande comment Jean Morin a pu, sans gêne et sans honte, écrire, 35 ans plus tard, ces lignes qui attestaient une telle duperie  historique, dans son livre  « De Gaulle et l’Algérie » –  alors qu’il savait bien que toutes ces promesses et ces engagements, portant la signature de la France officielle, avaient été ignorés violés, bafoués, piétinés impunément par le FLN, comme sans doute jamais ne le fut un engagement, souscrit par la France, sans que le chef de l’État français adressa la moindre protestation, ni prit la moindre disposition pour tenter d’y porter remède !

Degaulle passera toutes ces violations sous silence. L’exode des Pieds Noirs ? La seule circonstance où le Président de la Ve République daignera y faire allusion, se résumera dans cette boutade, difficilement croyable, lancée en public le 14 Juin 1963, lors d’un déplacement en province. Le paranoïaque, par nature très manipulateur de vérité, affectionne ce genre de défi : « Tout s’est passé sans heurt sans drame et sans douleurs  » !

Et Degaulle a eu l’impudence d’ajouter, comme si la France, en rapatriant les Français d’Algérie, avait accueilli quelque peuplade étrangère et primitive : « Cela ne s’était jamais vu ! ».

Ouvrons ici une parenthèse, pour noter ce qui, en réalité « ne s’était jamais vu… », ni en France, au cours de sa longue Histoire, ni dans aucun autre pays au monde :

Cela ne s’était jamais vu : un pays qui, ayant remporté une éclatante victoire militaire sur un mouvement subversif et terroriste, décidait soudain de capituler devant cet ennemi vaincu et de remettre entre ses mains sanglantes, non seulement une grande partie du territoire national, mais, aussi, le sort de onze millions d’âmes…

Cela ne s’était jamais vu : un pays qui déchaînait, contre ses propres ressortissants, en choisissant pour exécuteurs des basses œuvres des condamnés de droit commun ou des mercenaires étrangers, une répression sauvage, barbare, impitoyable, uniquement parce que ces citoyens là refusaient la honteuse capitulation de leur pays et voulaient garder leur terre française !

Cela ne s’était jamais vu : un Chef d’État français qui viole, à la fois, le droit français et la Constitution française dont il est le garant, n’hésitant pas à remplir les cachots de son pays de patriotes, et qui prend contre eux des mesures d’exception totalitaires et injustifiées, qui condamne, avec l’effrayant mépris qui le caractérise, à la peine de mort, ceux qui, comme le Colonel Bastien Thiry, osaient dénoncer les actes infamants du Régime !

Cela ne s’était jamais vu : une Nation qui, après avoir capitulé devant un ennemi vaincu, lui abandonne ses soldats prisonniers, ou simplement désarmés, et tolère, dans le silence le plus complet, leur meurtre organisé, laissant entre les mains de cet antagoniste malfaisant ses jeunes appelés métropolitains, ses harkis, ses moghaznis, ceci en sachant parfaitement qu’ils sont condamnés et que leur mise à mort sera atroce !

Non, cela ne s’était jamais vu : Nulle part, dans aucun autre pays, même les moins développés, même les plus totalitaires… Il a fallu que ce soit en France, sous la férule de Charles Degaulle, individu pervers et machiavélique, abusant, par le verbe, tous les Français de métropole – mensonge qui continue, de nos jours pour préserver une fausse idole – que tous ces forfaits ont été perpétrés !

Est-ce, encore pour abuser les Français, ou pour calmer la réprobation d’une conscience plus lourdement chargée que celle des plus grands criminels nazis, que Charles Degaulle a déclaré le 14 juin 1963 que tout s’était passé, sans heurt, sans drame et sans douleur ? Que valaient ces trois affirmations :

Sans heurt, alors que plus d’un million d’êtres humains ont été chassés de leurs foyers, contraints de tout abandonner et de tout perdre, fuyant, pour préserver leurs vies, dans des conditions de panique extrême, leur terre natale qu’ils ne devaient plus revoir ? Mensonge !

Sans drame, alors que ces Français là ont connu les brutalités, la torture, les internements arbitraires, les disparitions, les enlèvements d’êtres chers, sans compter la tragédie apocalyptique du massacre de leurs frères harkis, de leurs amis musulmans dont ils ont été arrachés, et sans compter, aussi, le chaos de l’Algérie qu’ils aimaient livrée inexorablement au fanatisme et à la régression ? Encore mensonge !

Sans douleur, alors que la souffrance des Français d’Algérie est inextinguible, alors que nombre des leurs, après l’accueil hostile de la métropole, ont préféré mettre fin à leurs jours que de supporter tant d’ignominie, alors que ceux qui sont restés voient encore leurs nuits perturbées par d’effroyables cauchemars, alors que, depuis un demi-siècle, ils réclament la vérité que ce monstre a mis sous un boisseau que maintiennent leurs thuriféraires de tous bords ? Mensonge, toujours mensonge, un mensonge d’État qui a ruiné la France et qui est, aujourd’hui, en passe de l’anéantir !

Pourtant, en ce sinistre printemps 1962, un homme s’était courageusement dressé contre cette imposture, c’était le député d’Alger, Marc Lauriol, qui, le 26 mai 1962, demandait à la tribune de l‘Assemble Nationale : « Quelle garantie avons-nous que le futur état algérien entérinera ces accords, en vertu même de sa souveraineté ? Rien ne le l’obligera à se tenir pour engagé par un traité qui lui aura préexisté ? »

C’était un argument de bons sens, conforme au droit international. Mais qui donc pouvait encore  l’entendre au gouvernement et en métropole ?

En réalité le FLN, cynique dans cette position de triomphateur où la France l’avait indûment placé, n’avait nul besoin de cet argument juridique pour bafouer cette autre garantie des accords d’Évian, celle qui engageait directement l’honneur de la France, et qui était destinée à assurer la sauvegarde de milliers de vies humaines directement menacées :« Nul ne peut être inquiété, poursuivi, condamné, en raison d’actes accomplis, ou de paroles ou d’opinions exprimées ,avant le 18 Mars 1962

Reniant ouvertement ce texte, de façon provocatrice, le FLN devenu maître absolu dans la place, va se livrer à une recrudescence d’attentats, de viols, d’enlèvements, de meurtres collectifs, de profanations de lieux du culte et de cimetières chrétiens et juifs, comme on n’en avait jamais vu depuis le début de la guerre d’Algérie !

C’est ainsi que, après le 19 Mars 1962 et « l’entrée en vigueur » des accords d’Évian, le parti de la France en Algérie comptera neuf fois plus de victimes en quelques mois qu’il n’en avait eues depuis la Toussaint 1954 !

La Ve République , qui s’était voilé si longtemps la face, mettra plus de 40 ans à admettre la réalité historique de toutes ces atrocité, de façon très partielle, avec combien de réticence, de faux semblants et d’ hypocrisie véritable ,sans jamais reconnaître la moindre part de sa responsabilité !

.Jacques Chirac dira, en 2002 seulement « La France n’a pas su protéger les siens … » et Pierre Messmer, encore plus tardivement, et plus misérablement, ajoutera: « Le Général n’en a jamais rien su ! » !!!

Alors bien sûr, qui aurait pu le savoir ? Toute une génération de vieux gaullistes, civils et militaires, plus ou moins complices du forfait d’Évian, chercheront tardivement – et naïvement – à s’innocenter en se cachant, aussi, derrière leur ignorance, chacun invoquant, pour se disculper, l’antique dérobade stigmatisée dans la Genèse «  Suis-je le gardien de mon frère ? » et imitant, par leur prétendue ignorance, les criminels nazis qui disaient, au procès de Nuremberg « Je ne savais pas… »

Si beaucoup d’historiens français sont obligés de reconnaître que les accords d’Évian restèrent « lettre morte », façon diplomatique d’avouer qu’ils furent totalement et impunément bafoués par le FLN-(Pour nous ce n’est pas le Coran) ironisait Ait Ahmed, l’exilé de Genève, il est grand temps de reconnaître que le mauvais exemple en fut donné, en premier, par Charles Degaulle lui-même !

«La France se porte garante de la protection des personnes et des biens » affirmait le Délégué Général Jean Morin le 19 Mars. Or le 4 mai 1962, au Conseil des Ministres, Degaulle annonce brutalement l’annulation arbitraire  de cette garantie fondamentale : « Que les Européens en Algérie se persuadent qu’il leur faut, ou bien s’accommoder avec les Musulmans sans que la  France ne les protège, ou bien qu’ils rentrent en France. L’intérêt de la France a cessé de se confondre avec celui des Pieds Noirs. Il ne faut pas leur laisser croire que l’avenir de la France Algérie c’est le leur. » (Alain Peyrefitte « C’était De Gaulle » o.c.tome 1-page 124)

Quel est donc l’avenir des Français d’Algérie ? Que deviennent les engagements solennels pris, au nom de la France, par Jean Morin, qui ne datent que de quelques semaines ? Quel destin peut-il être promis à cette communauté française qui se trouve en minorité dans un pays où le chaos est en train de s’installer partout, si le chef de l’État français leur refuse, d’avance, toute protection, et se désolidarise de leur destin ?

Le recours aux armes pour une autodéfense n’est-il pas  devenu légitime pour ces citoyens français, abandonnés et trahis par leur gouvernement, dans un pays en pleine tourmente, où leurs vies et celles de leurs familles sont directement menacées ?

Mais l’attitude d’irresponsabilité du chef de l’État va franchir encore un cran lorsqu’au Conseil des Ministres du 24 mai suivant, à la stupeur des collaborateurs présents,  il déclare «  La France ne doit plus avoir de responsabilité dans le maintien de l’ordre après l’autodétermination. Si les gens s’entre-massacrent (sic) ce sera l’affaire des nouvelles autorités. » (A. Peyrefitte o.c. -tome 1- page 136)

Que devient la promesse du maintien de l’armée française pendant trois ans pour assurer la protection des personnes et des biens des citoyens français? Car, bien vite, l’anarchie se confirme, et le 8 août, Charles De Gaulle, le reconnaissant, déclare : «  Le vide algérien est effrayant, les Algériens vont s’étriper, ils ne savent pas faire autre chose… ». Puis, se reprenant très vite, il ajoute : «  La France en a vu beaucoup d’autres. Cela ne la concerne plus directement Ce n’est pas la France qui est embêtée (sic) mais l’Algérie » (« C’était Degaulle » o.c. pages 198 et 201)

Devant son ministre, tout de même un peu affolé de ce qui se passe en Algérie, Degaulle va faire la preuve d’une irresponsabilité incroyable, d’une indifférence criminelle, ou pathologique si l’on veut, pour un Chef d’État, en citant, avec désinvolture, un vers de Lucrèce : «  Il est doux, quand les vents tourmentent les vagues sur la vaste mer, de contempler les épreuves d’autrui du haut d’un promontoire » (« C’était Degaulle » o.c. page  176) 

Tant pis pour les Français victimes des enlèvements, pour les musulmans fidèles à la France et qui désiraient rester français qui sont en train de périr par milliers, souvent dans des conditions atroces, De Gaulle et: la France gaulliste s’en désintéressent !

Toutes les garanties d’Évian, tant vantées, sont déjà caduques et leur nature mensongère éclate au vrai jour pour ceux des barons gaullistes présents qui, comme Alain Peyrefitte, ministre de l’Information, pouvaient encore en douter !

« Malgré les garanties généreuses que le Général Degaulle avait pu obtenir en leur faveur aux accords d’Évian, les Pieds Noirs les refusèrent, comme ils refusèrent, souvent par racisme,de vivre avec les musulmans, et préférèrent revenir massivement en France dans l’été de 1962 ».

Telle est la version moyenne, tirée de la synthèse d’une dizaine de manuels scolaires d’Histoire du niveau secondaire de notre Éducation Nationale d’aujourd’hui, choisies pourtant parmi celles qui se disent raisonnées, objectives, apolitiques, mais qui, de la conquête à l’abandon de cette terre d’Algérie, française de 1830 à 1962 est présentée comme la volonté d’un peuple asservi voulant se libérer d’un occupant illégal,…

« Creusée au cœur de la Nation, une plaie n’est pas guérie… » disait déjà Jacques Soustelle, il y a 60 ans….  Le 5 juillet prochain, ce sera toujours seuls, isolés au milieu de la nation française qui ne s’est jamais donnée la peine ni de les écouter, ni de les comprendre, en proscrits permanents sur le sol même de leur patrie, c'est encore dans la douleur et l’affliction pour tous, et dans le deuil, pour un grand nombre d’entre eux, que les Français rapatriés d’Algérie célèbreront l’anniversaire honteux des massacres d’ORAN !

Devant l’entreprise de désinformation officielle, inspirée par la pensée unique d’essence totalitaire, qui règne actuellement en France, et qui est aussi virulente aujourd’hui qu’il y a un demi-siècle, plus que jamais actuellement, apparaît précieuse, fondamentale pour préserver notre mémoire collective, l’œuvre difficile entreprise par le CDFA- VERITAS pour rétablir la vérité sur ce que fut l’Algérie française et sur sa terrible agonie, CES PROCÉDURES TANT DE FOIS RECOMMENCÉES DEPUIS 1962 et dont chacun, en son cœur, souffre, surtout à l’heure ou la France, ses sénateurs et ses députés aveugles sur notre drame, ont officialisé, comme de vrais accords de paix le crime d’état commis par la France a Évian !

Aujourd’hui, nombre des brillants dirigeants de VERITAS nous ont déjà quittés... Ceux qui restent parmi nous sont trop affaiblis pour continuer à accomplir sans relâche le devoir de mémoire qui s’imposait aux derniers témoins… Mais le COMITE DE DÉFENSE DES FRANÇAIS D'ALGÉRIE continueront la procédure lancée par VERITAS, sans rien attendre de la Justice française, mais en mettant tous nos espoirs dans LA COUR EUROPÉENNE DES DROITS DE L’HOMME !

Mais qu’on ne se fie pas trop au pouvoir de l’oubli… Nous avons vu nos parents souffrir. Personnellement, je suis le fils d’un résistant de l’O.A.S. et je l’ai entendu gémir toutes les nuits, revivant certainement les souffrances imposées par les sbires du Président de la République Française du temps de l’abandon… Notre génération se battra encore pour l’ouverture des archives, lesquelles révèleront enfin LES VÉRITÉS ENFOUIES DEPUIS PLUS D’UN DEMI-SIÉCLE !

Que faire en voyant nos aînés, nos parents atteints par la limite de l’âge, disparaître en masse ? Rayer de nos mémoires les drames qu’ils ont vécus ?  Accepter la fabulation qui remplace aujourd’hui, l’authenticité de l’Histoire ? Ou franchir toutes une nouvelle fois toutes les étapes imposées par la Justice Française, frappée d’amnésie sur l’élaboration d’une terre française depuis plus longtemps que Nice ou la Savoie, et faire enfin extraire la vérité historique du puit dans lequel la France s’imagine l’avoir définitivement noyée par la COUR EUROPÉENNE DES DROIT DE L’HOMME !

 Alain AVELIN

Président du C.D.F.A.- VERITAS

Rejoignez-nous ! Menez, avec nous cet ultime combat !

Nous avons droit à la justice et à la vérité historique !

Et nous allons l’obtenir ensemble !